Michel Baglin a vu le jour en 1950, à Nogent sur Marne, pas bien loin des guinguettes et il habite aujourd’hui Toulouse, en bord de Garonne. On en déduit qu’il aime l’eau, ce qui ne l’empêche nullement de goûter le vin ! Devenu journaliste pour presque 35 ans (une couverture pour masquer des activités poétiques et littéraires répréhensibles), il a commis quelque 30 méfaits (restés impunis jusqu’à ce jour) sous forme de romans, recueils de nouvelles et de poèmes. Ses activités suspectes l’ont aussi conduit à fonder une revue, Texture, devenue un site de critiques, revue-Texture.fr. Il fréquente divers cercles de gens peu recommandables, genre jurys de prix littéraires (Max-Pol Fouchet, Prométhée, Mallarmé, etc.), équipes d’animation (Festival de Sète). On peut le croiser, caché derrière sa barbe, en divers salons et diverses villes de France, mais il ne semble pas que ce déploiement d’activités lui ait permis de faire fortune. Parmi ses dernières publications : Lettres d’un athée à un ami croyant (essai, Ed. Henry), Eaux troubles (nouvelles. Pétra éd.), Un présent qui s’absente (poésie. Éditions Bruno Doucey), De chair et de mots (poésie. le Castor Astral éd.), L’Alcool des vents (poésie. Cherche-Midi puis Rhubarbe éd), La part du Diable (nouvelles. Le Bruit des autres éd.), La Balade de l’Escargot (roman. Pascal Galodé éd.), Entre les lignes (récits. La Table Ronde puis Le Bruit des autres éd.), Chemins d’encre (récits & carnets. Rhubarbe éd.), Les Chants du regard (Poésie. Privat), etc. Hélas, Michel nous a quittés au printemps 2019, après avoir écrit la dernière ligne de Je suis… Georges Brassens, un livre auquel il tenait tellement, en tandem avec Guy Allix.